Edouard adore son job de commercial pour la diversité des clients qu'il est amené à rencontrer. Il investit énormément d'énergie à prendre de nouvelles initiatives et à créer de la valeur grâce à sa grande autonomie. Découvrez également ce que l'entreprenariat lui a appris !
D’où viens-tu et qu’as-tu fait avant Toucan Toco ?
J’étais entrepreneur. J’ai monté deux startups : une dans le sport qui avait une solution de vidéo automatisée et une autre dans le prêt-à-porter. Ces deux projets ont duré trois ans chacun. Entre les deux, j’ai travaillé pendant deux ans en tant que Responsable pays France pour une boîte belge qui vend des softwares aux Ressources Humaines.
Qu’est-ce qui t’a amené chez Toucan ?
Je cherchais exclusivement dans le milieu startup. J’ai rencontré Baptiste Jourdan, un des co-fondateurs, qui m’a expliqué où en était arrivée la boîte sans levées de fonds. Je me suis dit qu’ils créaient réellement de la valeur et que ça avait l’air très intéressant. Ce qui m’a le plus plu était le potentiel de Toucan Toco.
Selon toi, quelle est LA qualité essentielle pour être un vrai Tokar ?
La curiosité ! Les gens sont très curieux dans cette boîte. Le talk du vendredi l’illustre bien. Quand tu parles avec les gens, ils peuvent te parler d’énormément de choses, pas seulement ce qui touche à leur domaine.
Ton rôle chez Toucan en deux mots ?
Je suis dans l’équipe sales, je vends la solution à des clients en France. Mon rôle est d’ouvrir des nouveaux clients, faire en sorte qu’ils soient satisfaits et qu’ils deviennent de gros clients pour qu’ils utilisent l’app Toucan Toco dans toutes leurs équipes.
Quel est l’aspect de ton travail qui te plaît le plus ?
Le travail de commercial peut être ennuyant si tu n’es en contact qu’avec des gens au même poste ou dans le même secteur.
Chez Toucan, mes clients sont très variés (retail, chimiste, fonciers, hôtelier), et je m’adresse à tous les départements et à des interlocuteurs de haut niveau : des responsables de la data, des RH, commerciaux, digital, qui me parlent de leur business et de leurs enjeux. On voit au cas par cas comment répondre à leurs besoins. Cette diversité rend mon rôle très intéressant et j’apprends en permanence.
Qu’est-ce qui est le plus dur dans ton métier ?
Le plus dur c’était de me plonger dans un univers que je ne connaissais pas : celui de la data. Je n’étais pas un spécialiste data, et j’avais peur d’être un peu noyé sous les termes très techniques, mais tu en comprends assez vite la logique.
Comme j’ai tout le temps été mon propre patron, le défi était aussi d’accepter de ne pas avoir les rênes de la boîte, mais aujourd’hui j’ai toujours l’impression d’entreprendre : j’ai une grande autonomie, tellement de choses à faire que je ne m’ennuie jamais, je n’ai pas l’impression d’être le numéro 2500 de la boîte.
L’expérience la plus drôle que t’aies eue avec un client ?
On a eu un rendez-vous chez une cliente qui avait un piano dans la salle de réunion. Mon collègue Jean-Philippe lui a joué un morceau pour mettre de l’ambiance ! Ca a permis de briser la glace très vite et on a eu un très bon contact avec eux !
(Il y a même une vidéo 🎶 !)
L’outil essentiel à ton taff en 2018 ?
Mes cordes vocales (ahaha).
Sérieusement, notre CRM sur PipeDrive.
Chez un client tu peux avoir plusieurs interlocuteurs, tu multiplies ça par le nombre de clients, ça donne une multitude de tâches, et tu peux facilement t’y perdre. C’est important de ne pas être le commercial “fleur au fusil” mais plutôt d’être bien organisé pour être le plus efficace possible.
Si tu faisais une data visualisation qu’est-ce que tu choisirais de représenter ?
J’aimerais bien voir combien de temps je perds par jour sur des apps genre Facebook, l’Equipe.
Qui sont tes role models ?
Michael Jordan. Et c’est toujours le cas ! Il avait trop la classe, j’adorais le sport. C’est lui qui a inventé cette mode de branding des sportifs avec les Air Jordan. Il a un style irréprochable.
Pour l’entrepreneur ce serait Richard Branson, parce qu’il a vraiment réussi à s’amuser librement, à faire tout ce qu’il voulait.
Quand j’étais petit, j’étais hyper attaché à ma liberté. Et ça rejoint la première question, j’ai aussi rejoint Toucan principalement parce que je sentais que je pourrais y garder ma liberté. Chacun apporte sa pierre à l’édifice, tu as énormément d’autonomie, tu peux prendre des initiatives. Or le milieu startup n’est pas toujours synonyme de liberté. Chez Toucan c’est une liberté ordonnée. Rare !
Ton talent caché?
Je n’ai pas un talent précis, j’essaie de vivre ma vie de manière créative. Je déteste la routine.
L’expérience qui t’a le plus appris ?
Ma première relation avec mes associés.
L’entrepreneuriat ce n’est pas une cour de récréation, tu peux beaucoup t’y amuser mais il faut définir des règles.
Pour avoir une liberté qui profite à chacun, il faut la réglementer. Dans ma première boîte, on était très jeunes, on a cristallisé beaucoup de choses et on ne communiquait pas assez entre nous. La liberté des uns et des autres a fini par s’empiéter et nous faire couler.
C’est important de pouvoir prendre des initiatives, mais les règles doivent être bien définies pour ce faire.
Chez Toucan on a une énorme documentation à disposition, une feuille de route, on est libres, mais tout le monde va dans la même direction.
L’app la plus cool selon toi ?
Trello, que j’utilise à la fois dans ma vie perso et ma vie pro. J’ai pris le réflexe de noter mes idées, à n’importe quel moment, que je sois au boulot ou pas. Ca me permet d’être beaucoup plus créatif et de ne rien oublier.
La dernière expo/le dernier film qui t’a marqué ?
La dernière exposition qui m’a plu : David Hockney, au centre Pompidou en octobre dernier.
Un réalisateur qui me plaît beaucoup est Wes Anderson. Il a vraiment une patte qui est incroyable, ses films sont très poétiques. Un de ses premiers films La Famille Tenenbaum est un de mes films préférés.
Un dernier mot pour la fin ?
“Que Dieu vous garde, quel qu’il soit. ahaha !!”
Envie de rejoindre Edouard et de participer à la folle aventure de Toucan Toco ?
C’est par ici : https://toucantoco.com/jobs 🤓